À la recherche des plaisirs sucrés
Les bonbons, ces petites douceurs qui peuplent les rayons des supermarchés, ne sont pas prisés par les nutritionnistes. Avec leur contenu en sucre souvent alarmant et une liste d'additifs parfois inquiétante, ces confiseries sont le véritable défi du plaisir coupable. Cependant, en matière de choix, il existe quelques options qui se démarquent.
Quelles confiseries éviter ?
Le Dr Jean-Michel Cohen a récemment analysé des bonbons connus bien-aimés des consommateurs. Parmi les plus préoccupants, on trouve les bonbons piquants de la marque Lutti, incluant les Flexi-Fizz, qui contiennent du sirop de glucose-fructose, souvent associé à la prise de poids. Un autre coupable est la gamme Maoam, qui utilise du sorbitol, un sucre alcool à surveiller chez les enfants.
Les meilleures options testées
Dans son classement, le Dr Cohen met en avant les gélifiés, tels que les crocodiles et les oursons, qui affichent 15 % de sucre en moins que la moyenne. En seconde position, les célèbres fraises Tagada, qui bénéficient d'une formule à base de colorants naturels, se révèlent moins problématiques. Enfin, les rouleaux à la réglisse se hissent au sommet, étant les moins caloriques et n'ayant pas de glucose-fructose dans leur composition. Cela dit, il est conseillé d'en consommer avec prudence en raison de la glycyrrhizine qu'ils contiennent, surtout pour les personnes souffrant d'hypertension.
En conclusion, bien que les bonbons ne puissent prétendre à une place de choix dans un régime équilibré, il est possible de faire des choix plus réfléchis lorsque l'envie de sucré se fait sentir. La modération reste la clé pour apprécier ces friandises sans culpabilité excessive.





